Petites canalisations font grands canaux.
Le tout-à-l'égout préfère encore parfois le ciel-ouvert.
Excuses de cuites — ou pas même —, paquets, papiers et plastiques peuplent les places où l'eau passe.
Pas un coin habité ne sera sans sa part de pylônes.
On dit qu'enterrer n'est pas grande idée : c'est que la terre pourrait trembler.
D'où le Japon des villes, toile d'araignée.

S'il n'en est ci-contre, voyez-vous, c'est qu'on est samedi.
Telles bâtisses.
Les choses qu'on ne porte pas sur soi seules se rapiècent.
C'est qu'elles pourraient tomber.
On annonce, plein de fierté, qu'Ishigakijima — était-ce une autre malheureuse d'Okinawa ? — vient d'y avoir droit !
C'est qu'il y a foule : c'est bien pratique !
Non, non, mon cher Watson : metabolique !
1 commentaire:
salut et merci du partage,
c'est tout à fait par hasard que j'ai abouti sur ton blog.
Le mien est consacré à la Connaissance de soi. Si le coeur t'en dit, tu es bienvenu.
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