Noël et ce qui passa : apercu de la perte vive (3)



Hop, et une année de blog supplémentaire. Ça passe, mine de rien, comme d'habitude.
Un petit aperçu de ce qui passa, et reparcours des chemins dont certains à présent semblent étrangers — le genre de billet pour soi et autres, qui prend tout de même un peu de temps, et sert à on-se-demande-bien-quoi.
Au passage, les millésimes 2008 et 2009 sont toujours disponibles.

Bonne promenade, comme toujours en grand désordre.

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Galerie badaude de portraits en marche, l'ors du Festival Imamiya Ebisu.

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Commencée récemment, ces melting pots de clichés préférés de photobooks japonais peu courants et acquisitions récentes : Un et Deux. Qui se trouvent dans le Japon Perdu. Je crois qu'on va continuer.

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Assez content du calendrier japonais pour 2010.

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Passage, infiniment agréable, au Todaiji. Ailleurs aussi.

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La collection de murs se poursuit.

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Une nouvelle série, qu'on tentera de poursuivre : Black Birds White Skies

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Hatsumode 2010 à Tajihayahimejinja.

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Une rambarde verte ?
Ah ah.

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Un petit passage à Kyoto : templeries, lycéennes, marche.

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Du vert et un jardin miniature.

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Une robe, bien sûr.

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Le dernier passage dans les montagnes de Wakayama, autour de Hashimoto, où l'on ne retournera, a priori, plus. Là sous la neige. Les sorties hors notre Sakai se peuvent par ailleurs trouver dans les Voyages, trop peu fréquents. Un peu de tout.

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Excavation de pousses de bambou. Et un petit escargot.

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Deux séries encore maigres, entamées cette année : Numbers, et Shadows of My Former Selves.

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Ah, failli oublié celle-ci, du fait du peu d'occasion de, que j'aime assez : Yuki.

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Ouh la, une bêtise commise alors qu'on devait être très fatigué.

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Une pseudo-kuro-niku, un poil plus travaillée que tout le reste.
Année par ailleurs pauvre en chroniques, faute de temps, n'est-ce pas.
Remarquez, il y a tout de même celle du Gambaru. Eh.

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Ah, et le best-seller de la Condition des femmes au Japon. De quoi attraper plein de blaireaux et trolls. Ce n'est pas ma faute, comme dirait l'autre.

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Le joli crépuscule Tsutenkaku-esque.

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Et le délire des feuilles d'automne au Japon ! Ah ah.

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Et quelques archétypes du bla semi-quodidien, qui nous tient, malgré tout, fringuant, l'un en couleur, l'autre en noir, l'un en couleur, l'autre en noir, l'autre en couleur, l'autre en noir, témoins du manque.

Et si vous vous demandiez comment je fais, voici la recette. ; )

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Voilà, c'est à peu près tout.
Espérons que 2011 soit un meilleur cru que 2010. Par nature j'en doute.
Mais on ne sait jamais.

本年も宜しくお願い致します。

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