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2012-2014 : Le Jeu des 738 Différences




Ou, Cherchez l'erreur.





Je suis obligé de contempler cette dégénérescence merdique tous les jours.
Cela ne me dispose pas plus favorablement, envers les tagueurs,
que précédemment.





Soir Semaine Silence Et bla




Lundi, au soir.

Un rythme de publication hebdomadaire, assez peu satisfaisant, qui malgré soi s'installe, et auquel il faut remédier. Mais quel médicament contre la semanalité forcée ? Contre le temps ! le temps ! Il fait toujours bien frisquet, d'ailleurs. On nous prédit le printemps pour les prochains jours : il serait temps ! temps !

Le parpaing est notre bas-relief, le plastique notre soie. On a ce qu'on mérite.

Thé, chaud, aux haricots entiers.




L'autre jour, un commentaire acide de la part de l'auteur de graffitis muraux qu'on rencontre tous les jours pour aller au boulot, qui remerciait avec une ironie évidente (donc sans ironie aucune) le pseudo-intello pseudo-cultivé que je suis (wtf ? y en a marre de ces complexes d'infériorité), de faire de ces tags fugaces des œuvres pérennes, en mettant en ligne les photos de ceux-ci. L'auteur (non pas l'artiste, il ne faut pas rigoler non plus) ne s'annonçait pas comme tel ; j'ai suivi le lien vers son profil qui pointait vers son blog rempli de photos de ses graffitis ; j'ai refusé le commentaire (censure, eh oui : je suis chez moi après tout). Puis je me suis dit que j'avais eu le doigt un peu leste (un clic décide du tout ou du rien), et décidai de répondre en commentaire en citant le bonhomme. J'étais un peu fatigué, et quoi que je retranchasse ou arrondisse, ça restait des propos d'une violence certaine, notamment concernant la valeur artistique des gribouillis et la criminalité de l'acte (alors qu'il y a grande chance que bourse publique, par-dessus le marché), etc. — enfin bref : après un temps certain passé à hésiter et à se demander quoi, on effaça aussi notre propre réponse (auto-censure : quelle tristesse) : rien d'utile ni d'inspirant, ni pour nous, ni pour ceux qui sont fiers de souiller, avec des crottes de mouches, des murs qui ont au moins une centaine d'année et que d'autres qu'eux auront à laver, repeindre, une fois encore en attendant la suivante.

Et quel gâchis, quel gâchis, Syrie, etc. Il ne reste rien.




Tiens, FedEx Unloads With Care.

C'est tout de même incroyable ces croisés cool de gauche, qui soutiennent les persécuteurs réactionnaires, qui leur couperont les couilles, de Femen & Cie.

Un nouveau terminus — Mairie de Montrouge — pour la ligne 4 : ça surprend.
Bah, il n'y a pas même la 14 sur mon plan de Paris.

Il ne manquait plus qu'une bartholinite.

Allez.



More tagrafs





Puisqu'on est dans les murs et graffitis.
Mur, souvent re-dizaïné, d'un entrepôt en voie de reconversion
estudiantine, rue du Département.


I HATE PARIS (4)




Les rebondissements peinturlurés
de la Rue de Tombouctou
continuent.

A la suite de l'épisode 3,
un témoin oculaire nous faisait remarquer le
BLANC




qui avait suivi
l'épisode 1 et l'épisode 2
(qu'il faut voir pour comprendre
le titre de la série).

Les jeunes du quartier — faut-il croire ?
(edit : pas si jeunes que ça, en fait, et pignon sur rue virtuelle)
n'aiment ni le blanc ni le vide
mais savent un peu d'anglais (comme quoi tout n'est pas perdu)
et peuvent écrire sans faute leur date de naissance.
(Cf. photo du haut.)

...

Un nouveau BLANC suivit.

(Les tagueurs doivent rire à la pensée de la persistance des repeintres publics,
et les saluer du même mouvement pour la table rase, vu leur empressement
à signaler à leur petite manière qu'ils existent
ou justement —
n'existent pas.)

Toujours est-il que voici l'œuvre nouvelle, actuelle
qui, cette fois, est signée et datée,
preuve s'il en est des prétentions grandissantes
de nos saccageurs locaux.




Espérons juste qu'ils n'aient pas l'idée de la faire figurer dans leur book.

Cheers.


Edit : épilogue.


I HATE PARIS (3)



Chapitre III

Où les aventures mauresques et murales de la rue de Tombouctou, dont la suite se fit peu attendre,
se résolvent d'une manière inattendue.

Episode Wan / Episode Tou

I HATE PARIS (2)




Suite des aventures palimpsestes, graphiques et fort peu respectueuses,
au coin de la rue de Tombouctou.

Pour ceux qui avaient manqué le premier épisode,
nous le joignons au dialogue qui sembla s'instaurer :

I HATE PARIS PLEASE TAKE ME AWAY...

I ♡ PARIS DON'T TAKE ME AWAY...

I HATE PARIS PLEASE TAKE ME AWAY... FROM FAKES...

Que va-t-il se passer en suite ?!
Le suspense est insoutenable.
...

Walls Murs Kabe (27)






Walls Murs Kabe (27)

Sur les murs et les portes, mots et visages, indésirables.
On walls and doors, words and faces, undesirable.



Surf Girl




Mots muraux et adolescents, d'amour et de haine.
Teenage wall words of love and hate.


I HATE PARIS



Rue de Tombouctou :
I HATE PARIS PLEASE TAKE ME AWAY...

Jean-Pierre Mader :
Mets un pied devant l'autre, devant l'autre...


Walls Murs Kabe (26)




Walls Murs Kabe (26)

Est-ce la pierre, le ciment ou le revêtement, qui fait un mur ?
Is it the stone, the cement or the coating, that makes a wall?










Walls Murs Kabe (24)




Walls Murs Kabe (24)

Des murs, des murs. C'est comme si le monde était fait de murs.
Walls, walls. It's as if the world was made of walls.