
Pas mécontent d'être en vacances ; mais un peu fourbu du très-convivial bounenkai d'hier soir — commencé à 17 heures en yakiniku et terminé un peu après minuit en bar-karaoke.
De l'avantage des festivités tostives.
On manqua toutefois le dernier train, marcha d'une station à l'autre, et prit taxi jusqu'à la suivante, et destination. Quelques photos, peut-être plus tard.
On fait durer le temps du café — mauvais Maxim's lyophilisé, pourtant. Car le temps du café est important !
La concordance temporelle des envies est peut-être le secret de la bonne-entente. Non qu'il ne faille parfois lutter contre.
Hier quelques achats de livres à nouveau ; n'avoir souci ni d'argent ni de place faciliterait les choix. Nulle intention, toutefois, de faire à nouveau dans l'accumulation, comme jusqu'il y a encor quatre ou cinq ans. Le déménagement de 10 000 volumes, j'ai donné, merci, et pas qu'une fois. Se délester du possible, à terme.
Enfin bref. Je ne m'occupe pas assez de S, qui tient rhume.
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