Diverseries d'un samedi quelconque.


Samedi, de fin d'après- midi et retour. Un peu agaçant d'avoir une heure et demie de pause entre matin et suite ; mais avec les gamins on peut toujours se distraire. Je préférerais toutefois rentrer une heure plus tôt...

Bien envie d'un petit voyage aléatoire — même sans cette merveille de JR Pass — au détour de noël et nouvel an... Peut-être du côté mer-du-Japon du Kansai ? On avait sauté l'étape, il y a deux ans, faute de temps.

Tiens, petite mésaventure boursière de l'université de Komazawa (駒沢大学), qui nous intéresse indirectement : N & M habitent à trois pas. Probablement la cîme de l'iceberg, une fois encor. Bah : sans surprise.

Puisqu'on est déjà dans les bas-fonds — les "nouvelles" —, voici le fin du fin. Rassurez-vous : ce n'est pas fort-long.

Et puisqu'on parlait de "nouvelles", je préférerais parler d' "anciennes" ; mais ça n'a pas guère la cote, n'est-ce pas. Malgré ce que j'en peux parfois dire, j'aime assez les squelettes dans mes placards, les faux-pas qui me talonnent tous jours, — et ma mémoire pleine de trous... D'où les livres, d'où les notes, d'où les images, d'où ceci, peut-être. Même si un blanc, immense et permanent, serait probablement, mmmh — plus facile à vivre ? Bah, on traîne par-tout avec soi la même carcasse, n'est-ce pas.

Si je pouvais, j'irais me planquer dans la cambrousse avec des vivres pour trente ans, des couleurs et quelques bouquins. J'en connais une qui ne serais pas contente ; ) — encore que...

Tiens, ça me fait penser que j'ai encor oublié d'acheter un plant de basilic. Ce serait amusant que celui-ci, aussi, se mue en petit arbre.

Allez, faisons sieste tardive : un peu fatigué.

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