Mardi, ciel, mal, et bla.



Mardi. Réveil quelque peu difficile et précipité par l'arrivée d'un colis. Lecture et extinction des feux un peu trop tard dans la nuit.

Je me souviens du dehors, au jour d'huy. Le temps, ces derniers jours, a quelque chose de l'été français : immacule du ciel auroral, et ça se couvre, ça se couvre. Se hâter, si l'on veut mettre nez en clarté, de, mmh, faire nos choses. Ou inverser l'ordre des priorités.

On mène l'investigation des causes du côté de l'exception ; mais c'est bien plutôt, m'est avis, dans le quotidien et l'instant qu'il faut chercher les causes du nombre croissant de cancers &c. : l'air, l'eau, la nourriture. (Bien sûr, le reste joue.) Alors seulement on se rendra compte de la futilité de la nouvelle mythologie "bien vivre et bien manger" : le mal — dont la civilisation et chacun de nous est cause — est trop grand pour qu'on puisse y remédier en quelques centaines d'années : l'inertie est trop forte. Il faudrait un brutal coup de frein à main. Pré-constat d'échec : à ce jour, seuls les États-Unis d'Amérique et la Chine auraient la main assez puissante — mais le cours se poursuivra, inchangé.

Allez, à la douche.


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