Au pays du soleil couchant.


Lundi soir, mardi matin, au choix et sans conséquence.

Une lune et deux soleils.

Ayant bien fêté hier au soir, peu de velléité à s'acharner à la tâche. D'où mince avancement dans le tri des photos de — mars... C'est déjà ça : un pas à la fois.

Le grand-beau continue — jusqu'à demain, semble-t-il, où pluie : on verra, comme à l'habitude.

L'ors de mes sorties aux horaires décalés, personnes âgées et mères embambinées d'un ou d'une.

Titre en demie plaisanterie — les écoles de langues feraient mieux de tabler sur les troisième et quatrième âge, plutôt que sur les rejetons ; les juku jouent bien — que ne ferait-on pas pour l'unique —, mais jusqu'à quand ?


L'éparpillement est un mal, est un bien.

La mentalité petit-paysan — façon Je cache du riz sous le tatami pour éviter la levée — me fatigue diablement, pour l'avoir trop souvent vue à l'œuvre. C'est pénible, et complique la vie de tous autour. Tsss.

Tiens, on s'est coupé les cheveux à la va-vite, dimanche matin : ça rafraîchit.

Osaka est décidément sérieuse quand il s'agit de plaisanter.

Le soleil m'empêche de tomber. En temps de presse, je n'aime plus la pluie.

Tiens, achat d'une balance à fin de peser les plus gros livres — soi-même, dans la foulée : masse inchangée depuis quinze ans.

R'envies de Rousseau. Prendre le temps.

Allez, une dernière clope.


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