Plis Ploc et Bla.




Mardi soir. Il pleut, dépleut, en bon timing.

Il a beau mouiller, c'est bien sec tout ça, cette année. L'an dernier ce n'était déjà pas bien folichon ; mais là... Pénurie et rationnement, déjà depuis quelque temps, par-ci par-là, Shikoku, Kyushu. Et l'été sera, quoi ?

Edit : c'est le déluge sur Kyushu... Comme quoi.

Nième discussion, l'autre jour, sur ce chikan (ex- ?) sport national — il en est encor qui s'étonnent et n'entendent — parmi les filles, bien entendu —, la somme des frustrations, des choses trop courtes et d'autres, pourtant. Bah.




Quand Made in Tokyo dit lutter pour ne pas montrer, finalement montrer et privilégier, faute de temps, les images, je m'identifie forcément. Les limites de Blogger à fin de mettre l'image en avant, et mon incompétence informatique. Enfin bref — beggars can't be choosers.

Sacrifions — il y avait long — aux dieux contemporains : un peu de nouvelles d'oubli. Nouvelle trouvaille du gouvernement japonais, et Michael Jackson. Un peu de meilleur sens, qui ne sera écouté, dans la frénésie totalitaire. On aura beau dire et applaudir, les architectes du XX-XXIe firent-feront-ils quelque chose qui allège la vie ? Démesure des ego, pseudo-visionnisme, déconnection du quotidien — qu'ils vivent donc dans ce qu'ils bâtissent : on en reparlera en suite. À part ça je ne vois pas.




Un heureux mouvement, qui me fait diablement envie. Tranquillité et autres.

On triche, et ne peut probablement se tenir, d'un billet à l'autre, à l'alternance stricte du noir et de la couleur. Bah.

Les insectes qui se collent à la moustiquaire. Parfois d'intéressants spécimens.

Quand on voit tout ce qu'ils montrent, on ne peut s'empêcher d'imaginer tout ce qu'ils ne montrent pas. L'arbre qui cache la forêt, et la forêt qui cache de le dépôt d'ordures.

Allez, au boulot !



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