Estivaleries tardives Et bla


Mardi, au matin.

Dernier jour de boulot avant l'envol.

La chaleur continue. Pour la première fois, un peu de mal, hier, ailleurs qu'au réveil. La fatigue, probablement.

Je ne sais pas trop quoi faire de ma photo ces derniers temps — possiblement un "bruit" et parasitage dû au nouvel appareil, et à l'insatisfaction qui va avec.

Les plantes ne survivront probablement pas (deux arrosages par jour, récemment) — on n'y peut grand-chose.


On s'occupe de trier, élaguer, sauvegarder ce qui se trouve dans les entrailles de l'ordi, qu'on emporte tout de même. On en profitera pour faire du vide dans les dossiers de photos pour ces pages.

Les photos d'août sont peu ou prou en ordre. On se dit souvent que si l'on passait un peu plus de temps sur un peu moins de clichés, ce serait tout de même moins mauvais. Bah.

Sentiment intérieur qui dicte la fin de l'été et anticipe — par 35°C humides, c'est un comble — la venue de la froidure à travers la foison d'interstices maisonnés. L'activité estivale — ou les envies de — est probablement — comme toute activité humaine, M. Montesquieu — liée au climat. Et quand il fait chaud, on a d'ordinaire pas envie de faire grand-chose.

De mon côté, j'ai plutôt envie de faire ce qu'il me plaît, certainement pas de me taper du transport réfrigéré des heures fixes. Le farniente n'est pas pour moi, sauf à l'entendre en ce sens de ne rien faire qui soit contraint.


J'ai aimé ce contraste apparent tout estival, et l'entends bien.

Reste qu'une des plus grandes envies de ces mois, fut celle de verdure et de mer — loin du bitume et des fumées automobiles, des jambes nues aussi.

Décidé sur la prochaine lecture : le Monsieur de Cupidon de Monselet. Personne ne connaît, je sais. C'est vraiment bon. J'essaie d'alterner les lectures avec les relectures. Relecture, ce coup-ci, après le Dominique de Fromentin.

Allez, à bientôt. Je vous laisse avec des billets tous les jours tout de même.
Veinard(e)s ?


4 commentaires:

Anonyme a dit…

"Veinard(e)s ?"

Oh oui !
M.

n a dit…

Ça c'est gentil.
Ou alors c'est de l'ironie ? ; )

Anonyme a dit…

Premier degré évidemment.
Un peu "de peu" quotidien est indispensable.

Bon voyage !
M.

n a dit…

Merci !