Route du jour Choses Et bla



Mardi, au matin.

C'est plutôt soleil et plutôt doux. C'est tant mieux.

On émerge, se lève, avant toute chose lave la vaisselle de la veille, le mug à café s'y trouvant, r'allume l'ordi, verse le café, tour d'horizon des emails — une vingtaine — et des bouquins, ça prend une demie heure, on sirote, puis revient en cuisine et chope quelque pain ou broccoli.

On s'était dit qu'on l'aurait fait le weekend dernier, effectif ce matin : semé les graines de basilic. Pas assez de pots, pas assez de terre. On pourrait en faire un petit commerce, vu la quantité (les milliers) de graines récoltées l'an dernier.

Puis tri de factures d'achats, etc., et café toujours, qu'on a réchauffé.
C'est tout de suite moins bon, le café, réchauffé.
 Et sans clope j'en parle même pas.


Mine de rien, un de ces bla demande entre une trentaine de minute et une heure, d'un bout à l'autre. On prépare le canevas à l'avance, date approximativement, choisit les photos, et laisse reposer jusqu'au jour dit. Quand on y pense, on ajoute une ligne. Toutefois, la plupart se perd dans l'oubli, le vague, puisque mes notes mentales ne durent vraiment pas long-temps, ayant trop de choses immédiates successives. Poncif des journées trop étroites et trop courtes. Une malédiction : le manque de temps.

Personne n'est accroc à l'Uniqlock ? Je trouve ça absolument fascinant, hypnotique.

Ensuite, on finira une ou deux notices de livres, puisqu'on a uploadé une quantité de photos hier, en prendra une cinquantaine sur trois bouquins, qu'on placera dans la pile À Ficher. Une fois fichés, on les mettra on ne sait où, car la situation d'encombrement a empiré exponentiellement depuis ce temps-ci, pas si lointain.

D'ailleurs, même les minces auront du mal à passer, s'ils ne sont souples, vu qu'il faut à présent enjamber des piles d'environ un mètre de haut, qui poussent au milieu de semblant de couloir qui serpente à travers la pièce. Malédiction n°2 : le manque de place.


Ah, ça y est, quelque peu trifouillé le code du bento, hier soir. Ça prend un temps fou ces conneries. Pas encore satisfait (c'est plus sympa pour la couleur que pour le monochrome, je trouve : tentez cliquer sur "color" à droite, ou ici, d'ailleurs) ; mais bon, on ne va pas se plaindre outre-mesure : c'est gratuit, Blogger, n'est-ce pas.

Reste que j'aimerais bien virer ce blanc irréductible entre le titre et le corps. Grrr. Des idées ? On tentera de virer le titre, plus tard, voir si ça change quelque chose. Enfin bref. La prochaine fois qu'on s'y met, il faudra s'atteler à la Page Majeure, comme on disait à Madjid — cette plateforme principale, ce carrefour des blogs divers et intérêts variés.

En suite, on grignotera quelque chose pour déjeuner, tout en bossant, se mettra en douche vers treize heures, pousuivra diverses tâches AJBesques, alarme de départ 15h39 pour une heure de train et vélo, deux heures de cours, et retour, dîner, boulot, stop, quelques pages de TLotR, et dodo.

C'était la météo occupationnelle du jour !

Allez.

1 commentaire:

Mazeuil a dit…

La dernière photo est captivante.
J'aimerais bien être là, derrière cette femme.