Dernier Petits Court Et bla





Jeudi, au matin.

C'est gris et froid ! C'est le dernier jour de boulot !

C'est aussi le dernier jour de la torture systématique et quotidienne du rasage ! et ça, ça se fête.

C'est café, pas très chaud non plus.




Des gamins, gamines, petits, petites et moins petites à temps partiel, ce fut le pied (équilibre nécessaire avec les humains petits et obtus que furent les patrons, qui, à titre d'exemple significatif, viennent de me gracier d'une prime de départ de 1500 ¥ = 15 € merci bien). On devrait pouvoir louer des gamins. Ou instaurer un communisme enfantin. (Parce qu'un gamin à temps plein c'est autre chose qu'une partie de plaisir.) Par ailleurs, on s'amusa beaucoup moins avec les adultes, souvent peu travailleurs et peu motivés, voulant du pré-cuit, pré-chauffé, pré-mâché et pré-digéré qui ne fasse pas dormir.

Tiens, Photoshop interdit l'importation de photos de billets de banque. Amusant.

On prend pas mal de (mauvaises) vidéos des lieux quotidiens, ces derniers temps. Oh, les photos aussi s'empilent, mais beaucoup plus vite : quelques milliers de clichés en attente de tri; on verre tout ça en février, m'est avis.




AJB experience / experiment : c'est incroyable le nombre de gens qui ne prennent pas la peine de répondre et laissent en plan quand ça les arrange. Je ne parle pas seulement du phénomène courriel ou internet, qui fait que les gens se permettent des choses qu'ils ne feraient pas en temps normal (social), mais aussi de courtoisie fondamentale. Le fric n'arrange en général rien à l'affaire, question comportement. L'inverse est arrive également. Tout arrive, en fait : il faut le savoir.

Les "best-of"s de décembre, en quelque domaine, m'insupportent. Manque marqué d'originalité. Non que l'originalité soit un critère. Mais ça aide à faire passer la pilule.

C'est l'heure de la douche.

Allez.




2 commentaires:

Lionel Dersot a dit…

" c'est incroyable le nombre de gens qui ne prennent pas la peine de répondre et laissent en plan quand ça les arrange. Je ne parle pas seulement du phénomène courriel ou internet, qui fait que les gens se permettent des choses qu'ils ne feraient pas en temps normal (social), mais aussi de courtoisie fondamentale."

Bien vu. Cela peut servir d'orientation pour décider de communiquer avec qui et sous quelles conditions de courtoisie minimale.

n a dit…

Merci pour votre commentaire.

J'avais suivi vos développements tangents autour de cette question (était-ce sur The Liaison Interpreter ?) qui me titille souvent, sans cesse réveillée par les échanges obligés et nombreux du cadre professionnel / commerçant (et accessoirement amical).

Il est également intéressant qu'on en parle, parce que c'est un sujet entendu : un tel attend un niveau minimal de courtoisie / politesse. Fonction de l'éducation, niveau social, etc.

Les tendances lourdes sont intéressantes. (J'avais commencé de développer, puis ai effacé le tout ; ce n'est pas le lieu pour ça).

Intéressant donc, de constater qu'une question n'appelle plus forcément une réponse dans la tête du questionné, par exemple. Ou la disparition du voussoiement (ou du kenson/sonkeigo au Japon) dans des cadres typiques où il était de rigueur.