Redoux Reflux Et bla




Mardi, au matin.

On ne cesse de se faire piéger, et de suer sous l'anorak qui sert de sac à main. Non qu'on le porte en bandouillère : les poches, voyez-vous. Et puis, le manteau à la main par où je passe parfois, c'est tenter le diable. Ou c'est tout comme.

Tiens, en photo de tête, c'est le lieu des bouleterres d'hier. D'avant-hier.

Café.




Dans le dernier tome paru du journal de Gabriel Matzneff, quel type incroyable.

 Du n'importe-quoi morphéen, avec des couchers à cinq heures du matin, ou dans l'autre sens à huit heures et demie du soir pour un lever vers une ou deux heures du matin (avec un après celui-ci plus productif que l'après celui-là toutefois). Une guerre entre les penchants et les obligations.

Quelle plaie que l'ennui au plume. Confort d'un côté, plaisir de l'autre, quand la nécessité ne s'y mêle.
Allez donc tenter de faire varier celui-là, qui est fondamentalement conservateur.

Les cheveux frisouillent étrangement.




Oranges et poires.

Weekend raccourci, cause les préparations David Carter (c'est tout à l'heure, à partir de 18h30, passez donc) et Champerret (installation demain ? ça commence le 26).

Billet raccourci, parce qu'on est pressé.

Allez.




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