Quatre Choses fin-janvières Et bla bw




Jeudi, au matin.

C'est temps changeant, c'est rideaux blancs et pois bleus.

C'est réveils et couchers pour le moins tardifs, c'est cette presse constante,
c'est l'activité et le vide qui l'accompagnent.

C'est café, chaud encor.




 C'est nos cahiers délaissés, vers lesquels on incline de plus en plus fortement.

 C'est un agréable vernissage Quist, réussi et riche de recroisements d'appréciés et d'au moins une rencontre (ou pas ?). L'exposition vaut le détour, et se poursuit tout le long de février, ici.
 
 C'est ce recueil d'interviews de Tim Burton, dont la lecture terminée tantôt, et l'envie subséquente de revoir de ses films, Beetlejuice et d'Edward Scissorhands, hier soir, et Sleepy Hollow, bien-tôt.

C'est la marée des envies et désenvies, climatiques.




 C'est le manque de bleu, de clair et de chaleur.

 C'est cette illustration tellement tranchée, de papiers découpés, de couleur et de noirs, nostalgique d'une jeunesse en campagne Taishô, de Takidaira Jirô.

 C'est interrogations quant la nécessité, somme toute très-française, d'une continuité, d'une cohérence, d'une conceptualité d'un œuvre, et quant au traumatismes culturel et personnels qui orientent cette nécessité.

Don't stop me now. Allez.



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