Sébolafrance Et bla




Dimanche, au matin.

Petit billet en passant, car on passe peu. L'envie ne manque pas : d'autres choses sur le feu. On fait toujours des choix, conscients, inconscients - inutile de trouver des excuses à tout.

(C'est peut-être une des caractéristiques fondamentales des Français : soulignez un tort, et rares sont les personnes qui vont tâcher de suite de le rectifier : ils vont d'abord tenter de trouver toutes sortes de contingences, de causes impondérables, etc. auxquelles ils n'ont pas part, ce n'est pas leur faute, alors même que c'est manifestement le cas, et ils essaieront même de vous faire porter le chapeau dès qu'ils peuvent, par un retournement vindicatif caractéristique. Quel manque de professionnalisme, quel manque de probité, etc., selon le cas, quelle plaie, en tout cas, on ne s'habituera jamais. Le Français est un égotique irresponsable.)

Quelle heure est-il ? Vite vite.




Lu sur internet. Coucher pour réussir à bien choisir.
Bon, c'était pour des tests de matelas ; mais ! haha.

Nos jeux du cirque ne comportent plus de mise à mort et ils remplissent à présent au moins deux fonctions : celle, originaire, de divertissement (au double sens de se divertir et divertir de)(en gros : le peuple devient idiot et c'est très bien), et celle, nouvelle, économique (droits d'exploitation, TV, pubs, jeux SMS, produits dérivés, etc. , et bâtiment, tourisme pour le pays organisateur). Je ne m'en suis jamais senti proche pour au moins deux raisons : d'une part, par esprit de contradiction, et d'autre part, parce que tout ce qui semble faire l'unanimité m'est fondamentalement louche (suspect).

Le premier moteur de l'esprit scientifique est la curiosité. Le premier acte de l'esprit scientifique n'est pas l'élaboration d'une théorie : c'est la dissection.




Le stock de photos d'illustration de ces pages est un peu usé !

Ce reportage, l'autre jour, sur les relations parfois tendues, et les torts partagés, entre les automobilistes et les vélocypédistes. Bordel, et les piétons alors ? Une chose est certaine à Paris : il faut faire bien plus attention aux vélos qu'aux voitures qui, elles, ne circulent pas n'importe où, ne se croient pas sur l'autoroute, s'arrêtent au feu rouge et cèdent le passage. En général.

C'est très curieux. En France, il faut se plaindre pour avoir ce que de droit. Cela vaut pour absolument tout. Qui ne se plaint pas se fait entuber sur toute la ligne. C'est très fatiguant.

Fond de café au lait.

Allez.



Aucun commentaire: