Hiver Respect Shyamalan Et bla




Vendredi, au matin.

Bien frisquet ! Puisque qu'il y a ceci, ne manquerait que de la neige :
le froid passe toujours mieux avec un peu de blanc.

De retour des fêtes familiales de fin d'année, ci et là.

Le slip dit kangourou est le corset des hommes.

Fond de café, au lait.




Cette affaire risible "les dreadlocks c'est pas pour les blancs". Amusant que, encore et toujours, les personnes qui crient le plus à l'irrespect soient celles mêmes qui ne respectent pas autrui. D'aucuns, voyageurs, expatriés, émigrés, voudraient être ailleurs comme chez eux : arrogance et irrespect que de vouloir imposer un mode de vie et façons d'être, us et coutumes, à une terre d'accueil et à ses habitants. Un seul mot d'ordre, pour l'accueilli, qu'il soit temporaire ou permanent : "Si tu es à Rome, vis comme les Romains ; si tu es ailleurs, vis comme on y vit."

'I will never win an Oscar, and do you know why? First of all, because I'm not Jewish. Secondly, I make too much money for all those old farts in the Academy.' - Sir Clint Eastwood.

C'est le hasard qui jette les gens les uns avec les autres, les uns contre les autres.




Épilation etc. : les femmes font tout pour ressembler, à première vue, à une prépubère.

Night Shyamalan, ces derniers temps, de qui on n'avait vu (et revu) que The Sixth Sense et Unbreakable. Passé un très bon moment avec Signs, The Village et, dans une moindre mesure, The Happening, tous trois intrigants et intéressants (le jeu ou la direction des deux acteurs principaux de ce dernier étant le maillon faible). En revanche il faut que Shyamalan cesse de s'octroyer des rôles importants : résultat catastrophique (qu'il s'en tienne au caméo à la Hitchcock). Dont Lady in the Water, qu'on a failli ne pas regarder jusqu'au bout. Pire encore ses sortes de superproductions SF/Fantasy (genre qui, faut-il conclure, ne convient pas du tout à Shyamalan), The Last Airbender et After Earth, qui m'ont soûlé au plus haut point. Restent Devil, The Visit, Split.

Dans quelle mesure existe-t-il un "instinct" de propriété ? C'est le seul point sur lequel il faut fonder l'espoir ou le désespoir de la possibilité d'une vie meilleure.

Allez.




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