(...)

Pouh, quel temps pourri. Ça ne donne pas envie d'aller bosser — eh, bosser me soûle de toute façon, ces temps-ci. Et J qui ne pense qu'à sa poire. (Ah, l'ordi fait à nouveau un bruit inquiétant — qu'il tienne jusqu'à ce qu'on en r'achète un autre...) Mmmh, au fond bonne chose qu'on arrête tout ça bientôt : on a fait le tour, et plus que ma claque de subir les égoïcités du collègue et la petitesse de la majorité de la clientèle.

A part ça, grosse fatigue : on irai bien se recoucher. Que cette pensée nous fasse tenir un jour de plus.

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