Robin is back. Yes yes it's true.

Bonsoir bonsoir.

Mmmh, exactement un mois depuis le dernier post... Bien entendu, peu et beaucoup de choses entre temps, qui file.

Avant-hier, connection internautique enfin établie ! A lire les articles faisant état des pertes mnémoniques associées à l'emploi de la toile, il faut croire que ce n'est pas forcément une bonne chose ! Bah, côté mémoire, ça ne peut pas être pire qu'à présent — ou alors ça tournerait au cas hospitalier...

En parlant de tourner, étant résolûment anti-A.-C., les pales du ventilateur récemment acquis sont à plein régime. Ce qu'il fait chaud ! La grand'mère du tabac de Shirasagi me disait que c'est monté à 37°C au jour d'huy... Au moins a-t-on en permanence une petite brise marine qui aide à la survie : je plains les encaissés en vaux !

On attend les petites vacances d'été avec impatience ou presque. Prévisions d'onsen en Mie, et le sempiternel Tokyo, où M a été relâchée avant-terme après lourde opération de hanches.

Elle redécouvre les joies de la vie dite non-active, par probablement une meilleure activité. Passer de seize heures par jour à tout le moins de station debout à couper coiffes, à la lecture sur balcon à heure qui-bon-vous-semble, ne peut être mauvaise chose.

Enfin, du coup c'est N qui trime pour deux !

A ce propos, vraiment étonnant, le fait que, pour filles et femmes, porter enfants signifie quasi-systématiquement l'abandon de l'activité exercée. Et ça sort de la bouche de gente la plus inattendue, cultivée, moderne et tout et tout.

Du coup, la contrepartie est inévitable : 'Dis chéri, il faudrait que tu penses à devenir salaryman". C'est amusant — en un sens...

Je plains en vérité les maris japonais ; un enfant à bas âge — ou deux — c'est un boulot à temps complet, mais ça ne dure qu'un temps et, surtout, grand'mère est là, ce qui fait que ça se la coule (relativement) douce côté féminin — sans compter qu'elles ont effectivement une seconde vie quand le mari meurt bien avant elles et que là elles peuvent vraiment s'amuser tout leur soûl...

Ceci dit, pourquoi donc les mentalités changeraient-elles ? Le concept "femme moderne / working girl" ne tient qu'à un argument : l'indépendance financière en cas de velléité de divorce... Exemples en 1.0 — ho ho ho — à la pelle autour de soi, ce qui n'est pas éblouissant. Enfin bref, on ne changera pas le monde, et ne peut que faire ce qu'on peut autour de soi — pour la Libération Masculine ! ; )

Euh, où ai-je dérapé dans ce post pour en arriver là ? Reprenons.

Un mois sans post, c'est un mois de photos qui s'accumulent ; une première pelletée ce jour, donc. Non que j'en aie pris une charrue, que nenni : quelques jolis ciels, soirs et matins.

Autre chose amusante : on file coup de main à une amie mangaka. Du coup, on se croirait dans Family Compo — l'inverti intervertissement en moins. Quoique Queen tourne en boucle ce soir. Ho ho.

Et du coup on a commencé quelques short stories qu'on soumettra éventuellement en concours en octobre : on verra bien. En attendant, c'est bien agréable. Du coup, en revanche, l'étude du japonais en pâtit... Ah la la.

Enfin bon, probablement plein d'autres choses à dire ; mais ça suffit pour ce soir ! Salutations !






















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