Petit tour à Lille et visite-promenade en conséquence, ce matin, avec N-chan. Eclaircie se fit, comme par magie, et nous fûmes bien contents de n'avoir à sortir le parapluie — comme ce fut le cas au réveil.
La grande roue est installée ; le marché de noël est en fin d'assemblage ; le puzzle des manèges avance, peu à peu : tout se fait sur un rhythme plutôt tranquille, malgré le temps, peu favorable à la traîne, ces derniers jours.
Tape, ces derniers jours, du carnet (bleu) d'avant le départ il y a un an — retrouvé dans les restes de ma bibliothèque parisienne. Pas mal de choses ont changé, entre temps ; d'autres inchangées, ou si semblables. Souvenirs de la "vie précédente" ; les soucis, hésitations, doutes et impatiences d'alors ; d'autres ont pris leur place : c'est toujours la même carcasse qu'on traîne avec soi ! on ne se refait pas, ou si peu.
On n'aura eu le temps, dans cette parenthèse cheminoise, de faire tout ce qu'on avait prévu de, comme fouiller dans les cartons et retrouver livres — de références, entre autres. Enfin bon, c'est trop tard pour s'en faire : la presse du temps, voyez-vous.
Allez, c'est l'heure du thé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire