Ces derniers temps, je me dis qu'il faudrait que j'ingurgite plus de lait. Ce n'est, en effet, pas comme si le calcium était une des composantes du régime japonais — d'où, pour une part et en général, leur mauvaise dentition.
Seulement, le lait n'est ici pas des meilleurs... Il faudrait oublier le goût du lait d'avant, les chocolats chauds matinaux pendant dix-sept ans et des brouettes, les vagues souvenirs de l'école primaire. Le fromage étant au Japon, eh bien, ce qu'il est, on se réduit donc à couper le lait de café : lait au café, et non l'inverse — quand on n'oublie pas tout simplement d'en boire. Mmh, mmh.
Au retour de Sawanochou (沢ノ町), ce soir, arrêt, comme tous les jeudis — ai-je décidé il y a deux semaines —, au Tengyu shoten de Nakamozu (中百舌鳥) : livrée assez chère mais de qualité — le stock d'une défunte librairie d'ancien et d'occasion, m'est avis. En fin de compte un seul achat — qu'on partagera ici bien-tôt — mais, après recherche, on y retourne demain en espérant que les quelques autres bouquins repérés y soient encor. Il ne manquerait plus que s'applique l'adage — On ne regrette qu'un seul livre : celui qu'on n'a pas pris. Et verra bien.
Tiens, il semble, après le foin Winny, que les autorités japonaises serrent la vis, concernant le téléchargement illégal. Exemple et avis à la populace...
Tiens, ce débat sur la tolérance ou l'interdiction du port de téléphone dans les écoles japonaises, me fait bien sourire. Quand je dis aux gamins que j'eus mon premier téléphone portable à vingt-et-un ans, ils croient à la plaisanterie, tout simplement. Tout ça pour dire : on faisait comment, avant ? Tsss.
J'aimerais bien qu'il fasse beau, demain.
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