Little green men, Japanese ones too, et bla.



Vendredi. Pluie, grisaille.

Grosse grosse fatigue, avant-hier au soir — et là on remarque que rien ne sert d'insister. On en prend bonne note, pour la prochaine fois. Le tout sera, en cas de tost-coucher, de ne se réveiller pas à trois heures du mat'...

Et rebelote, hier, où l'on s'est endormi dans le canapé, un peu après vingt-deux heures, et réveillé pour se recoucher où il est de coutume de. Bah.

Alors qu'on tente en vain de retrouver un blog qui contenait un moyen d'augmenter la taille de l'espace de stockage Google/Blogger (les photos, voyez-vous : je n'ai que faire d'un stockage gigantesque pour Gmail), on apprend que wordpress vient de passer le sien à 3 GB. Du coup, on ne se presse plus : Google ne saurait ne pas suivre. Ou alors ce serait vraiment mal jouer. Reste le truc des différents comptes, si jamais ; mais j'ai la flemme.


Ah, Suppaiku vient de nous pondre, après moult essai, un bien joli site. Il faudrait qu'on prenne le temps, manquant, pour s'atteler à l'interface de celui-ci. C'est pas gagné.

Dans le train, ce vieux couple qui converse aussi fort que des collégiens — c'est dire. Le j'm'en-foutisme conventionnel : privilège des déconsidérés, les plus jeunes, et les plus vieux. Remarque, ils étaient peut-être durs d'oreille ? Mmmh.

La série des incipits touchant à sa fin — c'est que les matériaux à portée de main sont rares : le reste est loin —, commencera bien-tôt une nouvelle série, au moins.

Dimanche, c'est kabuki. Même si la curiosité est là, on préfèrerait avoir un vrai jour de chôme, sans plan, préparatif, prévision, et que sais-je. Bah, on attendra encore un mois.

Et là, on grignote des dango magiques.

Et c'est déjà l'heure d'aller bosser.


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