Considérations post-christmatiques Et bla



Lundi, au matin.

C'est bien, c'est vacances. Un peu froid, sans surprise. Redoux, toutefois, traditionnel à la tourne de l'an japonais, me dit-on.

Bien occupé, comme tous jours.

Un peu de billets pour ici, un peu d'AJB, un peu d'édition-photo, un peu de rangement, un peu de sortie, un peu de tout.

Noël se limite vraiment à sa part de commerce ici — la queue de quarante personnes pour une soirée devant le KFC, les montagnes de gâteaux insipides en supermarchés, le pauvre CD de chansons hivernales version poppy-jazzy-bluesy qui tourne en boucle dans les galeries marchandes, les ridicules accoutrements rouges et blancs devant les magasins, &c. La part d'imaginaire et l'odeur de sapin ne se retrouvent que dans un coin flou de mon cerveau.



Quelque peu agacé, ce matin, d'avoir manqué quelques achats pour cause d'envie folâtre de la compagne. Grrr. D'un autre côté, évite la dépense. De l'autre, grrr.

Avec ce tour à Tokyo reporté à on-ne-sait-quand, libéré de tout impératif pendant la chôme. 31 au soir et 1er à midi mis à part. On fera avec.

Un billet cocasse à propos de la gueule de bois au Japon et de ses remèdes.

L'alcool, par ailleurs, m'est de moins en moins agréable, car il faut souvent gérer les débordements des co-buveurs, qui se soldent souvent en complaintes acerbes ou logorrhées ineptes. Une plaie.



On s'offrirait bien une Nintendo DS, tiens. Jeux et japonais — le plaisir utilitaire ?

Je crois que je me ferais bien à une vie de ménagère / homme au foyer. Si n'était l'idée de vivre en sangsue.

C'est pas tout ça, il faut se préparer à sortir : virements, courses. Ah, des courriels en attente de réponse, pour changer, aussi. On ne faisait, on ne fait que passer.

Allez.



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