Estivaleries Et bla


C'est samedi, la fin d'après-midi.

C'est le weekend enfin, en quelque sorte, pour quelques heures.

C'est soleil, bientôt couché. C'est chaud. C'est agréable.

C'est l'heure du thé. C'est toujours l'heure de la clope.

Ce furent deux suicides sur la même ligne avant-hier, et pris dans l'arrêt de la circulation suivant les deux, à l'aller, au retour ; il faisait beau pourtant.


Je manque le chocolat.

Je manque le jour à vingt-deux heures.

Je manque l'occupation oisive et dilettante.

C'est perte de deux kilos ces derniers temps, n'en comptant pourtant pas beaucoup — l'été, le stress.

Je manque l'exercice !


C'était Fairy Tale, que je pensais copié-collé de One Piece, qui se défend très bien tout seul.

C'est le jardin balconnier, qui grandit !

C'est du noir, c'est du blanc.

C'était de passage, ayant d'autres choses à faire, étant malgré moi de sortie demain — Kyoto.

Allez.


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