Estivaleries nippones Et bla




Vendredi, au matin.

Ce qu'il fait beau. C'est diablement agréable. On me dit 15 juillet et 15 degrés, at home. Brrr.

Les joies végétales du climat subtropical humide d'Osaka — et de la plus grande partie de Honshu, d'ailleurs. Ça pousse, ça pousse. Menthes, olivier, liseron, aloès, lavande.

Enfin pu sortir cette écharde d'un bon centimètre qui s'était confortablement logée dans mon deltoïde droit il y a un peu plus d'une semaine. Ça sort tout seul, en fait, ces trucs là, et me fit souvenir de cour d'école et de graviers d'il y a long.




Bonheur estival : la douche froide.

Ça y est, depuis trois, quatre jours : les cigales. Et, on ne sait pourquoi, le même jour : les corbeaux.
C'est compétition sonore. L'on préfère, largement, celles-là à ceux-ci.

Vu Scoop l'autre jour au soir.
— You are a cynical crapehanger who always see the glass half-empty!
— No, you're wrong. I see the glass half full, but of poison.
Woody Allen is a genius.

Quelle chaleur dans ce petit bureau encombré. On maigrit malgré soi.

Photos vraiment quelconques, ce jour.
Il en faut aussi.




Après les Samurai Blue du foot masculin (les baseballeux aussi sont des Samurai, si je me souviens bien), dernière bataille en date — ça sent le sentai — avec les Nadeshiko du foot féminin, qui se sont hissées au niveau mondial. Qui donc décide du noms des équipes ? Gambare Nippon...

S'il y a complaisance et refoulement dans un Japon légendaire (cf. supra) ou d'un Bakumatsu idéalisé (Musashi, Ryôma), dans quoi peut bien se complaire la France ?

Achat, ces derniers temps, modéré mais ciblé de dessins et peintures d'illustrateurs des années 1970. On voudrait encadrer et exposer tout ça. Les photos Meiji-Taisho, aussi. Et les posters, les sérigraphies. Ça attendra un peu.

Allez, direction AJB.



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