Ne pas Jours Smart Et bla




Samedi, au matin.

Il ne pleut pas, il ne neige pas, il ne vente pas, il ne fait pas chaud, ni froid, ni ensoleillé, ni frisquet, ni orageux, ni..., ni quoi encore ? Quelle plaie que la définition en creux : interminable. Allez définir la définition en creux au moyen d'une définition en creux, tiens !

De l'importance de la table et de la chaise, de la tasse et du verre.

Café, bien tôt fini.




La petite heure de marche quotidienne, qui nous mène du XIXe au XXe, est l'occasion de portraits intéressants. (Il faudrait par ailleurs profiter de ce qu'on a encore quelque temps à soi, pour trier cela, et tout ce qui précède.) C'est également l'occasion de peaufiner la prise en aveugle, à fin de ne pas se faire frapper. (Comme le GIF du billet précédent, pris en marche, sans cadrer, à hauteur de hanche.) Petits amusements de tous jours.

Après un mois vite passé, un rythme se dessine, avec ses pentes et tendances. On tente à grand-peine de ne se coucher pas à des heures trop tardives, et maintient un lever à peu près constant. Régler le contenu des heures de veille, et cette tendance de monomanie touche-à-tout. Oupa !

Tiens, ça y est, on sort du boulot et il fait encore jour (ou plutôt il ne fait plus nuit). C'est toujours ça de pris. Next in line: le soleil, la chaleur, la chôme et la terrasse. Ahem.

Répondre à ces lettres d'enfants petites, moins petites et point petites.




De retour, on a récupéré un mobile dit "smart phone" (comme si les autres portables étaient idiots)(ou alors c'est à prendre dans l'une des autres acceptions du terme, à savoir qu'il en jette ?)(de la poudre aux yeux). Bref, consulté depeu pour mobile: c'est chouette, mais toutes les photos sortent n'importe comment (toutes au même format, en fait), ce qui démonte toute l'intention, et la mise en page (ou l'inverse). Enfin bref, passez ici via un ordinateur de salon, ou ne passez pas.

D'ailleurs qui a besoin d'un téléphone portable intelligent ? Qui a besoin d'un téléphone portable ? Qui a besoin d'un téléphone ? Qui a besoin... ? Eh, ça me donne envie de relire le Walden de Thoreau !

Mais j'dis ça j'dis rien !

Allez !




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