Une promenade forcée, tôt un matin de février, prolongée pour le plaisir.
Le XIXe, de l'avenue Jaurès à la place des Fêtes, puis retour en courbe, en passant par le cimetière de la Villette.
Quelques mauvaises photos assorties de leur inutile commentaire.
Au pied des Buttes-Chaumont, côté nord-est, entre grand standing en arc de cercle aux airs côte-d'azurés et cette ligne de chemin de fer dont il faudrait faire quelque chose, au lieu de dilapider des millions pour les PP (Paris-Plage), NB (Nuit Blanche) ou Philou-Prout (Philharmonique de Paris).
Les immeubles — et notre position relative — dessinent des créneaux sans cesse mouvants sur le ciel. Lignes célestes et architecturales. Ahem.
Il n'est pas cinq heures, mais c'est le matin.
Adret et ubac de part et d'autre de la coulée de la rue de l'Ourcq.
Escaliers incompressibles, salles de sport et les gens autour.
Un hommage à Depardon ?
Ah, les joies préfecturales pour renouvellement de CNI.
Au retour, passage par la "campagne à Paris".
Ou comment prouver que la campagne, ils ne savent plus ce que c'est, à Paris.
On dirait, je ne sais pas moi, tiens — Malo-les-bains.
Murs composites et rues pavées.
J'aime assez celle du dessus, celle du dessous.
Perspectives urbaines.
Go get'em, Tiger.
Ahem. Sur le retour, dans la descente à l'aveugle vers l'avenue Jaurès, je passai et entrai dans le cimetière de la Villette, situé comme dans une cuvette de béton et bordé d'immeubles divers.
360°
Tombes et caveaux plus ou moins rutillants, plus ou moins rouillés, plus ou moins verdis, plus ou moins moussus. C'est selon l'ensoleillement, aussi.
Toutes les photos sont watermarquées, merci.
Dit-il d'un pas décidé aux bobos piocheurs.
Allez, c'est qu'il fait froid, rentrons-nous.
Ci-dessus, la première d'une série en cours,
de portraits contre-plongés.
You say goodbye, and I say hello, hello, hello
I don't know why you say goodbye
I Say hello, hello, hello
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