Zero Chère Trique Et bla




Jeudi, début après-midi.

Gris et froid dehors, il semble que ça sous-zérote la nuit, je ne saurais dire, en journée peut-être également ?

Chôme (rattrapage : la boutique était ouverte dimanche), bien venue.

Un peu faim.




Le goût des choses sans sel ni poivre, voire crues.

Le lien entre richesse et joliesse. L'absence totale de silhouette ou visage remarquable sur le chemin quotidien. C'est plutôt, systématiquement, du jambonneau sur lit de choucroute. Qu'on ne goûte que dans son assiette. Le lien inversement proportionnel, par ailleurs, entre chère et chair d'une part, l'estomac plein et la trique de l'autre.

Douche. La seule pause véritable de la journée, qu'on prolonge souvent, pour mettre de l'ordre dans les idées. On voudrait s'y installer, s'asseoir à l'aise, eau chaude en pluie, sans grande lumière pour le repos des yeux, et non pas en bain. Un des seuls moments aussi, où l'on ne fait pas trente six choses en même temps.

L'outre-presse quotidienne.




L'autre jour, au retour du boulot, vu passer, plein à ras bord de gens des deux sexes en tenues de soirées, un bus-discothèque. On pouvait percevoir, du dehors, un boum-boum léger, et apercevoir de grosses gouttes de condensation sur les vitres.

L'autre jour (un autre autre jour), bon moment avec P au Grizzli. Le Grizzly : ils chauffent les plats, attention qui vaut la peine d'être signalée. Et excellent steack de thon avec purée de céleri. Comme par compensation, la musique est pourrie, et les desserts hors de prix.

C'est agaçant, ces cadres au format 10x15 alors qu'on tire en 11x15.

Allez, poursuivons.



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