Esté Sables Procustes Et bla




Lundi, après midi.

C'est l'été. C'est à dire que les jours raccourcissent. C'est une catastrophe. En attendant, il fait plutôt beau et plutôt chaud. Ça me va plutôt bien. Manque le temps pour en profiter, ou n'en profiter pas ; mais c'est une autre histoire. Oui, un peu comme les fins des films Conan le Barbare. Par ailleurs, on passe assez peu par ces pages (et c'est un peu bâclé) occupé qu'on est à ne rien faire.

Point positif estival et récurrent : Paris se vide, se dépeuple quelque peu.

Fond de café.




Le gras comme présomption d'auto-indulgence et de laisser-aller.

Ces femmes musulmanes et âgées qui mendient le long du boulevard de la Chapelle à la litanie de salaam aleikoum.

Se rend-on vraiment compte de l'étendue des dégâts que causent les contes et histoires de princesses, etc. ? Remarquez, ce sont probablement les côtés cassés des gens qui les rendent intéressants.

Chouette, Paris-Plage est enfin de retour (sic). Reportage en couleurs bientôt. Un de ces jours. Cet hiver si tout va bien.

Femme : plaisir ponctuel, piège permanent.




Par ailleurs, Procuste devait être une femme.

Au Japon, littéralement, un enfant ça s'achète (PMA non couverte).

Ç'a chauffé autour de Barbès samedi dernier. On a beau hurler à l'état-policier (c'est un point légèrement différent, de vivre dans un état de droit et politique, et de n'obtenir pas l'autorisation de manifester), de quelle manière des bagnoles embrasées, des bouts de goudron lancés, des vitrines cassées, et des altercations avec les forces de l'ordre, servent la cause arabe-palestinienne qu'ils prétendent défendre, je ne sais pas, alors qu'on m'explique.

Un chemisier rouge.

Allez.


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