Décendre Choses Et bla




Dimanche, après midi.

Le froid s'installe. J'ai probablement écrit nombre fois, que je ne se sens aucune affinité avec celui-ci. Gris ce jour. Alors qu'il faisait bien beau hier, remarquez. On attend impatiemment un jour chômé qui serait clair, histoire de pouvoir prendre des photos de l'imposante pile de livres qui attend, à fin d'avancer dans les visuels et notices pour AJB. Un autre jour, n'est-ce pas.

Décembre : bouts de sapin ou d'épicéa, chocolats et champagnes, en supermarché.

Un peu soif.




L'impression, depuis le retour, de camper. Que tout est posé là — meubles, livres et autres — déballé à moitié, entre deux, ou trois d'ailleurs, pourquoi pas.

Tout ceci n'aurait aucun sens si je n'avais la conviction de pouvoir trouver tous les autres en moi.

Le supplice inévitable et quotidien de devoir s'arracher à une douche chaude, qui est un de nos plaisirs certains — chose rare s'il en est. Par compensation, on est pas trop bain. Mais verrait bien un banc sous la douche.

Maintenir le Pourquoi pas. Toujours mieux, en un sens (celui, bête, de la survie), que l'À quoi bon.




Rory Gallagher's Laundromat ! Il avait une belle gueule, gamin, avant le trop d'alcool.

Cette particularité intéressante, qui en dit long à plus d'un titre, de l'imagerie érotique asiatique : les représentations érotiques japonaises sont pleines de vits surdimentionnés, alors que celles chinoises donnent à voir des choses aux proportions bien plus réalistes.

Les voix humaines ne se ressemblent jamais autant que dans le chuchotement.

Il est probable que je cherche quelque qui me serait opium.

Allez.







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