Matin, boulot, affaires, achats, et bla.

Frais matin, revigorant et, ce jour, lumière douce et chaude.

Levé tôt : il faudra probablement faire sieste.

Les aurores, pis-aller de crépuscules, sont plus accessibles, à mesure qu'on avance dans l'hiver, reculant quelque peu chaque jour.

Le boulot a repris hier qui, en dépit des mésenvies — point de changement, en fait. Une nouvelle élève, mignonne, très-curieuse et tout — autant dire : un peu en avance pour son âge —, qui fait pourtant partie de ce nombre croissant de collégiens japonais qui ne mettent plus les pieds à l'école. On saura pourquoi quand elle voudra en parler.

Actif dès poltron-minet : clichés pour les incipits — une centaine de billets en stock —, avancée dans d'autres travaux, — et clope, — et café.

Hier achat d'un nouveau meuble-bibliothèque ; ainsi livres anciens et manga ont chacun leur coin. À présent que le "salon" commence de prendre forme, reste à se trouver une table basse, n'est-ce pas.

Coup de fil touchant, hier, de Kooriyama, où ma présence est instamment demandée... C'est un peu tard. Et il y fait un peu plus froid qu'ici. Et il me faudrait investir dans une automobile, ce dont je n'ai pas guère envie. Et puis il est d'autres attachements ici que là-bas je n'ai pas. L'offre est, malgré ce que j'en dis, tentante. On y passera dès qu'on peut : ce n'est pas prière qu'on peut refuser par téléphone.

Le café a refroidi.

Passer à la banque déposer la paie d'octobre — eh oui, c'est encor numéraire en 手渡し. N'oublier pas que le Japon c'est encor et aussi l'Asie, vous disai-je tantôt.

Au passage, c'est fou ce que wikipedia contient d'inexactitudes et d'erreurs.

Allez, avançons dans la mise en fiche de la grammaire japonaise. Plus de mille pages, c'est tâche interminable. Plus que trois centaines...

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