Désenvie R'encourage Végétable Et bla



Lundi, au matin.

Hier, ce jour, grand soleil au matin, qui r'encourage quelque peu. La désenvie persiste. Temps peut-être de chercher de nouveaux boulots. Ou que l'hiver cesse.

Fonds de tiroirs de juillet, d'août, et de bien piètres images. Sans parler de coordination, arrangement, disposition, inter(ré)action, comme on dit. Bah, il y a des jours comme ça. Flemme d'en poser d'autres.

Déjeuner, dimanche, avec Trump-do-san. Il y avait long. Qu'on n'était sorti un peu, qu'on n'avait vu ladite. Tonkatsu du côté de la vieille ville de Nakamozu.



Encore quelques cartes à écrire. Courriels auxquels répondre.

Curieux mais sans surprise, les comportements induits par la communication internautique, comme le manque de courtoisie, de manière, etc. La magie de l'anonymat ou du contact bref. Gygès, n'est-ce pas. Socrate-Platon n'a pas dit que des idioties.

Une sorte de parfumeur électrique vient de faire apparition dans le salon. Point désagréable. Mieux que la clope froide. Réminiscence de — de quoi d'ailleurs ? ah, d'inhalation pour soulager l'asthme.

On commence en début d'après-midi, et n'aimerais mieux pas. C'est exactement cela, en fait : d'humeur bartlebyque.



Des mandarines d'Okinawa viennent d'arriver par express. Dans la boite, autour des fruits, du papier journal, en date du quatre janvier. Soleil et manches courtes, dans les images.

Nouvelles végétales.

Les oignons poussent à bon rhythme. Le basilic se mue en plante grimpante. Les pâquerettes ont l'air de choses mutantes.

Parfois il ne vaut mieux pas savoir d'où.

Allez, à la douche.



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