Juillette Opéra Tumbler Et bla




Mardi, au matin !

Un ciel étrange et mêlé, qui fut l'apanage de juillet tout le long. Mais j'anticipe !

Le luxe de ne prendre le métro qu'une fois tous les dix jours environ. Comment ça ? on marche !

Manqué d'oublier que c'était jour de bla. Onze heures trente. Et un peu beaucoup faim !

Mais fond de café froid !




Rdv du côté d'Opéra hier. Ça faisait long-temps qu'on était pas allé de ce côté-là, ni du côté du "centre", d'ailleurs. Par comparaison, Laumière c'est la cambrousse. Et bien Opéra c'est insupportable. Hordes de touristes, hordes de déjeuneurs, hordes d'automobiles, hordes de grands magasins. S a voulu aller manger du côté de la rue Ste-Anne. (Elle me dit que les râmen instantanés, au supermarché nippon, sont à 5 euros. Argh.) Finalement restau vietnamien, à fin d'éviter tous ces mauvais restaus japonais (que le patron soit japonais et non chinois n'est gage de rien, mauvais c'est mauvais). Complètement fou aussi, le nombre de Japonais qu'on croise dans les environs. Des touristes, voyez-vous. Qui viennent manger japonais. À Paris. Après avoir fait 10 000 kilomètres. Ils sont fous. D'autres, comme celle qu'on mena manger un couscous, n'avala qu'un peu de semoule, par peur de tomber malade. Elle avait trouvé un hôtel pas trop cher, depuis le Japon, à Château d'eau, et était morte de trouille depuis qu'elle avait vu la sortie de la station. Remarquez, c'est un peu comme le marché noir qui se dresse à l'intérieur de la station Barbès : il y a grand besoin de nettoyage. Oui, les cheveux sur le trottoir aussi. Ceux qui ne savent pas de quoi je parlent gagneraient à y aller faire un tour, à Château d'eau, et à Barbès : c'est très instructif. Enfin bref, je parlais de quoi ? ah oui, je hais Opéra.





Vous me direz, il y a déjà le Bentô à Photos (quel nom ridicule, quand j'y pense). Ben, le Bentô, c'est une sélection tirée de de peu, principalement du Japon, et ça remonte parfois à loin ; là c'est de l'inédit, parisien, et du très récent. Bien ramé pour modifier le code, d'ailleurs, sur lequel on n'a qu'un contrôle partiel (à l'inverse de Blogger). Le mode template preview ne fonctionne même pas. C'est un peu mal foutu, quoi. À creuser. Il est grand temps. La motivation manque ; c'est la faute aux étagères, subnuméraires.

Bon, à la douche, et boulot. On ne faisait que passer, hop : c'est que le temps de rien. Tss.

Allez.




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