Opinions et sentences mêlées Et bla




Samedi, au matin.

Ça pleut. Il y avait long. Les typhons c'est de l'histoire ancienne. Une grosse pluie d'automne avançant.

Ça tombe mal : juste quand c'est jour de lessive. On ne parle pas assez souvent de ces choses ménagères qu'on nous vend comme occupant la vie entière d'une frange non négligeable de la population, et que le reste de la population expédie en deux temps trois mouvements.

Fatigue appuyée, habituelle, aux causes constantes et diverses.

Café inchangeant.




Contemporanéité : quand la mémoire interne ne sait plus utiliser la mémoire externe.

Finalement on n'aura pas été faire un tour à Hokkaïdo.

L'insularité est pas pour les grands enfants. C'est également un poison pour l'un, un médicament pour l'autre. Ceux qui y voient un atout pour se défendre contre l'extérieur, périront. C'est qu'ils ne savent ce qu'ils sont. Réflexe de moribond. Les autres verront dans l'insularité la métaphore absolue de l'individu.

Mon ennemi : la femme au foyer. C'est qu'elle est menace, chaine et maladie contagieuse.

Le nez coule.




Que se passe-t-il sur Drink Cold ?
Ça prend un air de pente à la Candyland — vous vous souvenez ?

HTH2 est une sorte de pot pourri tripartite. Le fil rouge d'avec le premier volet : le souci psychologue et épigrammiste. Démarche d'intérêt : plutôt que de pondre une masse nécessairement confuse, décrire le tout en décrivant une multitude de parties, de manière laconique. Précisément ce qu'on fait ici.

Football : Samurai Blue / Tadjikistan : 8-0...
C'est un score de sélection pour la coupe du monde, ça ?
 Ah, c'était à Nagai.

Allez, au boulot.



3 commentaires:

Anonyme a dit…

L'insularité...

zadddie

Clarence Boddicker a dit…

"Que se passe-t-il sur Drink Cold ?
Ça prend un air de pente à la Candyland — vous vous souvenez ?"


Ca c'est vache.

Dire qu'en plus, on a participé au bizutage de cette maison dont on espérait tant...

Alors dis-nous, c'est quoi le problème ?

Trop de Megane-kun hein ! Je suis sûr que c'est ça. Quoi ? Pas assez de sexe ? Mais quand on en fait, les mecs gueulent à l'infamie (remarque, tant que ça nous attire le regard outré de la "hype" bloggeuse française). La J-pop d'Akimoto ? Mouais. Je crois que tu nous fais surtout une overdose de Japon (et du coup, disons aussi que ça sent la naphtaline dans le coin).

De notre côté, ne nous cherchons pas d'excuses, c'est pas aussi simple de fournir du bois et trouver du sang neuf. En même temps, bientôt 3 ans hein.

Ca se fête non ? ;)

Clarence, il boit toujours aussi frais

n a dit…

Sorry, le commentaire était encore une fois trop laconique. Je voulais juste dire que depuis le coup de neuf, j'avais l'impression que ça se cassait un peu la figure, rapport à ce qui faisait le charme de la buvette avant, à savoir : ça déconnait, faisait du n'importe quoi sérieusement, tirait à tous vents, du contenu et du contenant qui sortaient de l'ordinaire et faisaient fi de plein de choses chiantes, quoi. (Dis-moi si je me trompe.) C'est très sage et policé ces derniers temps, non ?

Côté news d'ici, je ne fais pas d'overdose de quoi que ce soit, je suis juste en manque de conversation décente depuis quatre ans. Où que je sois, le ton ne changera pas, et je te passe le coup de rétorque facile de la naphtaline, à moins que tu n'aies justification sous le coude. D'ailleurs je rentre à Paname en janvier, m'étant fait débauché en conditions satisfaisantes il y a quelques mois.

À la tienne !