Affichage des articles dont le libellé est FIREWORKS. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est FIREWORKS. Afficher tous les articles

Inagawa Fireworks / 猪川花火 (2)



Hop, c'est reparti.







Puis viennent les inévitables figures (qui en toute logique doivent rendre bien mieux vues du dessous), comme une espèce de Doraemon


ou un p'tit cœur,


ou — là je ne sais pas trop, ambiance fruitière ?






Voilà, les jolies choses s'enfilent aux autres, et c'est à nouveau le temps d'une pause.
Comme ça m'ennuie un peu les feux d'artifices, à la longue, je cliche Osaka vu du nord-ouest.



On en profite pour tester le zoom digital, et tombe sur une sorte de forteresse Macross.


Et ça repart.






Et bien sûr cela se termine bombastiquement sur des gerbes féroces.
(Je parle des feux, pas d'alcoolémie)


Ensuite, eh bien, on prit le café, et il fallut bien rentrer (DEUX HEURES, bordel, trouve des amis plus près), et ça c'est moins agréable.


Enfin bref, pas grand-monde, et le joli vert des banquettes usées.


Inagawa Fireworks / 猪川花火 (1)



Hibarigaoka Hanayashiki (雲雀丘花屋敷) est quelque peu éloigné de chez nous — oh, juste deux heures de train, métro et marche. Ce n'était pas même la première fois que.

On y allait, de jour, pour voir, au soir, les fameux feux d'artifice d'Inagawa (猪川花火), sur lesquels on a bonne vue depuis la grande maison, haut-perchée, de connaissances, là-bas. C'était août et chaud.

Une fois le train passé — ça ne passe pas diablement vite —, qui dit haut-perché, dit grimpette.
Des gens préparaient un mini festival, en bas près de la gare. En suite, ça monte rude.



Il y a quelques bâtiments assez intéressants, l'un en angles, son voisin en courbes.
Et cette maison au balcon de chaise dans le vide.



Le plat c'est fini, on s'y met.







On se distraît comme on peut !



Voilà, on arrive. Oh, la montée n'est jamais la plus difficile : je vous assure qu'on fait moins belle figure à la descente, avec de l'alcool dans le nez. Enfin bref.

Oarrive, on mange, et, pile pour le dessert, on sort, attend,


et ça commence.



Comme vous constatez, ça papote.
Quelques clichés qui, heureusement parfois, ne parlent pas ; P











On profitera de la pause pour s'intermettre aussi.
D'autres choses nocturnes suivent.

Flammes et fleurs — 花火






Comme promis, quelques passages et temps forts du festival et feux d'artifice de Sakai 2008.

La petite voisine qui chante Ponyo Ponyo en fond, sur le balcon — mignon comme tout.

Le final me fit diablement penser à une bombe nucléaire — non que j'en aie déjà vue, par ailleurs.

Obon est là ; il fait chaud ; Tokyo en prochain post.


Edit: Les trois quarts des vidéos sont parties quelque part dans le passage entre Google Video & YouTube... Bah, ce n'est pas très important.