Tardif Jeune morte idiote Envies Et bla


Vendredi, début d'après-midi.

Un peu occupé ce matin : passage en coup de vent.

Plutôt frais, alternance, d'éclaircies, de nuages.

Lu jusqu'à un peu trop tard dans la nuit, hier : réveil un peu difficile et lecture en fin de compte inefficace, puisque les idées qui germaient alors furent perdues en sommeil. Garder les lectures conséquentes pour la journée — prendre le temps de — et la littérature pour le soir.


Ben oui, le roman et la poésie, quels qu'ils soient, c'est du divertissement léger.

Oh, week-end de deux jours, dès demain : cela fait bien long-temps que.

Hier bloqué en train-aller. On sut plus tard que deux lycéennes japonaises avaient voulu traverser la voie pour se rendre sur le quai opposé, quelques stations plus loin : l'une ne l'a pas rejoint à temps et est morte écrabouillée. Quelles idiotes.

D'autant plus qu'au Japon — je ne sais comment ça fonctionne ailleurs — les familles des morts / suicidés sur la voie ferrées se voient remettre la facture de la perte due à l'interruption du trafic, qui se compte, à ouïe-dire, en centaines de millions de yens.

Commentaire des femmes au foyer des entours : les gamines allaient à un lycée réputé pour ses gyaru tannées et peinturlurées, ses délinquants attitude et décolorés — pas étonnant que, etc. etc.


On finit l'automatisation complète des paiements avec la Poste et les exorbitantes cotisations-santé (env. 15% du salaire brut). Cesser les enchères à fin d'éliminer les permanences devant l'ordi. Aller chiner, plutôt, avec le temps ainsi libéré.

Possibilité de retour en France ; s'atteler au devis compensatoire éventuel. Se monnayer sans crainte.

Tiens, long-temps qu'on n'est allé se manger un tonkatsu. Un kushikatsu ferait tout aussi bien mon bonheur. Peut-être même plus, étant donné la cave.

Allez !


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