Chaud Désastres Et bla




Vendredi, au matin.

Après quelques jours parfaits ( = beau temps d'été méditerranéen), rebelote de chaud et humide, d'étuve dès 6h30. Un peu lassant, mais infiniment mieux que quelque absence de soleil, 15°C ou pluie.

À Wakayama / Mie aussi, ils se passeraient de pluie, les barrages naturels créés par les glissements de terrains dus aux précipitations abondantes lors du passage du typhon number twelve (ça c'est de la concaténation) menaçant de rompre et d'engloutir encore plus de maisons et de gens.

Ah, café.




Du coup, on ne sait plus trop bien, si l'on ne suit pas les images qui bougent dans la boite en plastique, si l'on parle de Fukushima ou de Wakayama. Oui oui, ça en parle encore, de Fukushima — juste une petite histoire triste, avec un enfant ou une grand-mère, de préférence et de temps en temps (ah, les gros plans sur les yeux, et la larme pointante, ils adorent ça), histoire de remuer un semblant de pitié et mouiller le téléspectateur à l'œil, voyez-vous. Le reste ? Bah, pas très important. Et puis, il ne faudrait pas décourager les gens de consommer : ça, ça serait un crime.

Je me demande parfois à quel point les gens font la différence entre le cynisme et le sarcasme.

Septembre, c'est desquamage accéléré.




On continue The Mentalist. C'est plaisant.

Tony Orrico's performance drawing!
And daily painters.

Ah, on se croirait en juillet : le dos dégouline.
Et les ongles poussent. Mais ça c'est normal.

Allez.



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