Almost Evolution Choses Et bla




Tuesday, (glance at the clock) in the morning still.

Once again almost forgot that today was a day of blah. Not that it'd be the end of anything. It's just the discipline part of it. Anyway. It's cool and greyishly cloudy-white out. Turned off the lights too late, woke up likewise, with the start of a sore throat on the top of it. No med in the house, tss. One month without a cold was kind of a feat. The stretch ends there it seems.

Why the English, you ask, why? Why not, I say, why not.

I really have to wipe this keyboard clean. Coffee, and switch.




Dans le dernier épisode de House (s8e13), quelques considérations sur l'évolution (des humains dans la culture occidentale). En gros, les femmes modèlent la société à leur image, et présentent cela comme une "évolution" (par rapport à la barbarie masculine). House : "Evolution doesn't work that way, you can't talk legs onto a fish." Cela ressemble fort, en fait, à une nouvelle religion. Avec les doses d'euphorie, de prosélytisme (à fin principale d'auto-conviction), de frustration, refoulement et dépression qui vont avec. À développer. Il nous faut un FLM (Front de Libération des Mâles), comme il faut des wagons Man Only, pour nous protéger et libérer (le cerveau, la queue).

D'aucuns m'entendront mal, bien sûr. Je hais les manifestations, extérieures et consuméristes, de cette soi-disant masculinité, toutes ces autos et motos, biceps et bijoux, toutes ces grandes et chères choses accessoires, en somme, qui sont autant de succédanés de vit complexé. Par quoi, c'est une autre affaire. (Enfin non, je ne les hais en rien, c'était façon de parler : je trouve juste cela infiniment ridicule et superflu, et apprécie, par contradiction, le fait que les usagers de ces choses ne s'en rendent pas compte, ce qui est l'essence même du ridicule, notez bien.)




Ces derniers temps, lapsus au clavier: à la place de Photobook on tape Phonebook. C'est arrivé au moins trois fois déjà, et je trouve ça très amusant.

Mea culpa. Je reçus sur AJB, il a déjà quelque temps, un gentil courrier demandant conseil pour auto-publication d'un travail photo très personnel, et auquel je ne pris encore le temps de répondre, ne sachant non plus quoi engager. Quoi qu'il en soit, où que c'en soit, voici Shoko Tsuji.

Dans un cahier dans un carton, ma carte de sécu américaine ! Souvenirs souvenirs.

Allez.




1 commentaire:

Mike Palm a dit…

Congrats on making Blog of Note!