Août Dépiauter Et bla




Jeudi, au matin.

 Blanc à l'horizon, barbu, averses, ressorti la guitare, aurait dû prendre deux semaines en lieu d'une, melon de saison et fin de pêche, choconneries et autres maladies occidentales.

L'inaptitude croissante à la note mentale : écrire ou perdre.

Café, une ou deux gouttes de lait.




Étonnant de voir toujours autant de ciels bleus et de mauvaise foi.

 Ménage et ordonnance des bibliothèques japonaises et anglo-saxonnes, ce weekend. Commencé d'apprécier (au sens de mettre un prix sur, bien entendu) les livres de photos qu'on a pu rapatrier. Reste ce millier de photos, la plupart en albums, de Meiji, Taisho, début Showa, pour l'instant en pile ci et là, qu'il faudra dépiauter un de ces jours. On se fait d'avance une joie de.

Cette petite, sur le pont, qui fait signe au-revoir aux TGV, Eurostars et Thalys qui passent.

L'empiriste n'est pas loin du bordélique.




On tâtonne concernant la nouvelle maquette d'AJB.

Travaux et bruit, dans la rue, à désoucher une borne métallique à l'utilité douteuse, plantée au milieu du trottoir depuis aussi long-temps que.

Hier bu, mangé, veillé trop tard.

Allez, au boulot.




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