Juillette Choses Et bla




Samedi, au soir.

Même Paris est parfois touché par la bénédiction solaire. Il était temps. Que cela dure.

Les gens qu'on aimeraient voir et qui fuient ou pas, la marche bâclée, le quotidien biophage.

Bientôt un peu plus au sud.

Chocolat, thé.




Nécessité d'écrire pour se souvenir. Reste à se souvenir d'avoir écrit.

Les pharmacies sont des lieux intéressants à plus d'un titre, lieux, pour résumer, de médecine charlatane obnubilée par l'argent, permise par la confusion d'automédication avec ignorance entretenue. Ou comment l'accès au diagnostic est court-circuité par l'accès au médicament, au détriment de la prescription efficace, et à celui, plus général, de la santé de chacun. La faute, bien sûr, — car depuis quand est-il médecin certifié ? — au pharmacien, qui n'en a rien à cirer.

Je marche d'un pas décidé dans la direction opposée aux lieux que je fuis.

On se refait House après avoir gravé le tout pour faire de la place.




Nombreuses commandes, de tirages et livres, chez Photobox. Le fait qu'il y ait un service client irréprochable (recommande systématique sans frais si défaut ou détérioration), est malheureusement contre-balancé par le fait que les produits arrivent systématiquement défectueux ou détériorés la première fois. Et le recours systématique au service client commence à fatiguer fort.

Connerie de 14 juillet et conneries de délinquants qui se battent à coups de feux d'artifices et pétards au milieux des passants en bas, dans la rue, ça explose, ça fuse, ça crie et ça hurle. J'espère qu'il y aura quelques estropiés à vie.

2:30 déjà et ça continue : le désœuvrement est la maladie humaine.

Allez.





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