Mardi, Mozu, Miam, Manières, et bla.



Mardi. Quelque temps sans bla, n'est-ce pas.

C'est qu'un peu occupé par le passage de Pierro par-ici, en sus des choses habituelles, certe un peu rognées, du fait de.

Le temps clair tombe à point ; un peu de soleil ne fait jamais que du bien.

Les jours filent, comme de coutume.


Hier petite marche au matin, du côté de 百舌鳥八幡宮 et des 古墳 environnants : bien agréable. Même s'il fit frais, caca de poule pour P, qui se tapait encore -15°C, il y a deux jours, à deux heures trente d'avion d'ici.

Sentiment étrange, de faire le guide. On en profite pour se perdre, aussi, au passage.

J'entends toutes sortes de choses et d'anecdotes sur la vie à Pékin, à Shanghai — autres façons de.


Au soir, 串カツ attitré d'Abiko, et menu seize bâtons, qu'on n'avait tenté jusqu'à présent. Ça n'ajoute rien : les deux dernières brochettes du menu douze bâtons sont une conclusion : le surnuméraire est juste quantitatif : plus de gradation dans l'ordre des saveurs. Cela dit, ça reste diablement bon. Bâtons-desserts au-dessus. Et le sorbet à dix yens...


Les choses pour le déménagement se poursuivent. Une de moins, avec le déménageur, passé ce week-end pour évaluer que-quoi, et qui, en fin de compte, nous vide tout l'appart' — et il y en a — pour 18.000 yens. Un samedi. Magique.

L'autre jour, dans le train. Tous sièges occupés, entre un grand-père à cane, qui s'arrête devant la rangée de soudains pionceurs, avec une tête "y en a bien un qui va me faire une place" — pensez-vous. Et là, il nous sort à voix basse, mais suffisamment forte pour que tout le wagon puisse entendre, au sujet du plus proche pseudo-ronfleur : "Oh, celui-là il fait semblant de dormir !" Ça me fit bien marrer ; l'autre de ne bouger pas. Eh.

Puisqu'on parle de train — le gaspillage : chauffage à fond dans les wagons, et ces portes, aux arrêts, grandes ouvertes sur le 0°C de la rase campagne... Nid à rhumes évident. Au moins le chaud-froid-chaud ferroviaire change-t-il du froid-chaud-froid, en été — que je supporte moins bien encor.

Enfin bref — à la douche : salutations.


2 commentaires:

Anonyme a dit…

Déménagement ? Pour un ailleurs asiatique ou au Japon?

n a dit…

Oh, pas très loin, à dix minutes de train de l'actuel ; mais c'est vâchement mieux, pour le même prix. : )