Soleil, nouvelles, trou, et autres sabbateries.



Samedi, et constant ensoleil : rare occurence, ces derniers jours. Infiniment agréable.

Je n'aimerais mieux pas n'avoir qu'un jour chômé par semaine.

Au retour, chez notre cher 天牛 — à défaut de mieux —, achat d'un livre amusant, dédié à Tokyo, de 1975. Je vous dis pas les têtes et le style. Que penseront de nous les gens dans une trentaine d'années ? Mmmh, probable qu'ils riront bien. Toutefois, vu que l'oubli gagne à mesure que la masse informative croît, ils s'en ficheront royalement, qui sait ?

On en fera un billet, un de ces jours, l'ors qu'un peu plus de temps.


Allez, le sacrifice, tant attendu et si peu pressé, aux dieux de nos jours oublieux.

Les Hommes contre les Bêtes : le choix est ici vite fait — question compagnie, famille, priorité, et autres encor. Renvoyons par ailleurs aux Parcs à Maîtres.

Par ailleurs, à traîter les hiérarchiquement inférieurs — collègues de travail, élèves, &c. — comme des chiens, ou des larbins, on s'attire plus souvent l'ire que l'indifférence. Qu'un fusible brûle, et voici. Chuou ou Hakihabara, même combat ? Alors, les pronostics ? un élève ou un collègue ? Fifty-fifty ?

Et si, comme d'aucuns le soutiennent, le Japon, jusqu'à récemment, tenait un niveau de chômage ridicule du fait, entre autres, du nombre colossal de femmes au foyer, le gouvernement et la classe politique ont-elles intérêt à ceci ? le volet "femmes meilleures consommatrices" seul leur ferait peut-être lever l'oreille. Cela dit, vu que je tiens toujours à lancer un mouvement de libération de la gente masculine au Japon, qui n'a qu'à bosser et à ramener de l'argent à la maison, je soutiens pleinement. ; )


Emi-chan demain ; on ne sait encor ni quand, ni où... Vu le décompte et la presse des jours chômés, j'aimerais bien un brin d'organisation dans tout cela. Enfin...

Tiens, à trou à ma chaussette. Noire. Ça ne le fait pas, ici : poubelle ? ou reconversion en torchon à peinture ? Ah, continuer la série des う詐欺ちゃん&辛酢くん. Quelques idées qu'on aura tost-fait de perdre, si l'on ne note.

Sans cesse besoin d'accessoires, à la mémoire. On portait tout en soi, il n'y a pas si long-temps encor. Bah, l'entropie, voyez-vous ?

Allez, vaquons.


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