Jour de choix, un roman-photo japonais.


Je me sentais en chance, ce jour-là.


Je trouvai pour pas un rond la balance que j'avais l'intention d'acheter,


et, l'ors que distrait par l'affiche d'un malencontreux partenariat,


j'évitais même de poser gentîment le pied dans cet autre porte-bonheur, en édition ultra-limitée au Japon.


Reste que j'aurais peut-être dû, vu qu'à la maison m'attendait le premier gros poque à mon MacBook, outil de plaisir et de travail.


Damn it !

Fin.

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