Bla de décontrainte.


Petit tour rapide du samedi soir. Thé vert aux haricots grillés.

La clémence céleste se poursuit — tant mieux : toujours ça après quoi l'on ne râle.

Boulot ; visite au matin d'une amie de S qui revient du Nicaragua ; petit tour à Nakamozu pour les livres, rien de transcendant ; un peu déphasé, ce jour.

Un peu de soleil, et du temps libre, me comblent.


S et le souci permanent du confort, tout féminin, particulièrement au Japon où, quoi qu'on en dise, l'homme est censé bosser, et la femme au foyer. Tout serait plus simple si tu étais salaryman. Ça c'est sûr ; mais pour qui ?

Calculs après extirpation des impôts, de la sécu, de la retraite, des frais de transport, &c. Bah.

L'idée de la contrainte me pèse plus que la contrainte elle-même. C'est probablement vrai, en changeant ce qui doit l'être, pour beaucoup de choses et pas mal de gens.

Suffit : au lit.


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