Dimancherie printanière.




Dimanche, bien-venu, au matin. Pain-perdu, café, clope. De l'autre côté, nuages, vent.

Période de relatif décourage ; mais on a l'habitude. Achats erratiques. Malgré tout la bibliothèque récemment acquise est déjà pleine. Il va falloir repenser tout ça. Interrogations intermittentes. Le temps tous jours filant.

On se fiche pas mal de la grippe, qui vient d'arriver à Osaka.

Les impôts sur le revenu expédiés, on attend les impôts locaux. Passer à la mairie pour la cotisation-retraite — bien que ce soit un archétype d'inenvisageable.




Un peu frais : passons pull et chaussettes.

Amusant comme ce qui détermine actions et inactions est très souvent d'une extrême simplicité. Humain sans surprise.

Plants d'oignons vinrent s'ajouter au basilic.

Ces notices interminables de choses de rien du tout, mais d'intérêt — pour qui ?

R'envies de peinture.

Quoi ce dimanche ? Mmmh.



2 commentaires:

Dvorah a dit…

"Ces notices interminables de choses de rien du tout, mais d'intérêt — pour qui ?"
Ben, par exemple, pour moi ! Ne me demandez pas pourquoi, c'est ainsi, et ce n'est pas cela qui me fera bouder mon plaisir à vous lire.
Donc, merci à vous.
Et fin de bla, ;-)

n a dit…

Ah, merci ; mais je pensais aux notices de livres ; )