Bla de chaleur et de nuit


Vendredi soir. Il fait chaud, on revient d'enterrement, c'est dire qu'on a festé. Reste que c'est (à peu près) partout pareil : avant la fête au souvenir et retrouvailles, un enterrement, c'est pas diablement drôle, n'est-ce pas.

Il paraît qu'Osaka est, à considérer les moyennes annuelles, la ville aux températures les plus élevées du Japon-continent. J'ai — comme souvent à cette heure-ci — la flemme de chercher confirmation ; mais je veux bien le croire. Shirahama est plus au sud, pas si loin, plus fraîche pourtant. On ne parle pas même de Shimane.


Demain rebelote — cela se passe sur trois jours. Dommage qu'il ne pourra être là en octobre pour le mariage de sa fille. Enfin bon...

Cette semaine aussi, passa à toute vitesse. Préparer la suivante. Ah, trouver le temps de virer le bandeau / frise et d'en faire un autre. Un étage suffit.

Tiens, en passant, de quoi donner de l'encre aux sociologistologues.

Il n'est pas tard ; mais la fatigue est là. Allez.


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