Bla de transigeance


Jeudi déjà ! et fin d'après-midi.

Soirée précédente quelque peu houleuse et désagréable — petite déprime, en se demandant ce que quoi. Résumé : il faut payer des vacances à la princesse, bosser moins, être plus attentif, enjoué, et faire conversation : rendre la vie "amusante", en fin de compte — la routine habituelle, quoi. Se souvenir que les filles, ici ou là, prennent leurs sentiments pour de la logique, et que c'est inutile de tenter de raisonner droit. C'est pas méchant, c'est réaliste, et la désillusion passera un temps, comme souvent. S'il doit y avoir une prochaine, je la prend au collège, et me fait Genji !


Les journées se passent en livres ; les piles ne désemplissent.

Izumigaoka compte quelques lacs et étangs — petite promenade en guise de pause, hier. Il fit, comme ce jour, chaud et humide.

Typhon à l'ouest, tremblement de terre au nord, le plat par-ici.

Tiens, la dernière affaire de drogue et de célébrité. Much ado about nothing, comme tout jour.

Grrr, se remettre au japonais — il faudrait lever le pied ailleurs : peut-on se permettre ?

Allez, courriels auxquels répondre...


2 commentaires:

Lionel Dersot a dit…

"et la désillusion passera un temps, comme souvent". Ça fait vraiment mouche cette phrase! Je ne compte plus les exemples autour de moi auxquels elle s'applique. Et il y a un moment où la désillusion prend le pouvoir. Idéalement, il faudrait ne pas attendre ce moment là et passer à autrechose au plus vite.

n a dit…

Alors une seule chose à faire : Passons aux Hommes ! Yeah !