Flore Chôme Retard Copier Et bla


Samedi, au matin.

Grand-beau, soleil incouvert. Que cela tienne : au sanctuaire voisin, un peu plus tard, S voulant talisman.

Le basilic fleurit non-stop depuis trois mois, alors que la floraison c'est comme le sexe et l'accouchement : il faut faire des pauses de temps en temps, sinon c'est fatal.

Jusqu'au retour du boulot hier soir, j'étais persuadé travailler ce matin. En faisant mes additions du mois, je voyais la petite croix dans la case de l'en-demain — bien content, même si l'on n'aurait craché sur quelque additionnel trébuchant. Bah.


Avant l'heure c'est pas l'heure ; après l'heure c'est plus l'heure.

Il semble, à voir comme l'une en retard un jour a l'intention de rectifier ce retard par une arrivée diablement en avance inutile les jours suivants, que l'adage est mal connu, et que l'irraison règne. Ce n'est jeu de mot irréfléchi : à arriver en avance ou en retard, il est toujours quelqu'un qui attend. Aucun souci si l'attente ne dérange ; mais c'est tout de même rarement le cas. L'art subtil et difficile de la ponctualité ?

Diversifier les sources de revenu, comme l'on conseille ci ou là.

Parfois l'impression d'un copié-collé d'un jour à l'autre, tout passant vite, et la presse, l'occupation. Je sens que les mises à jour d'AJB/ULJ vont se faire un jour sur deux sous peu.


L'espièglerie collégienne des quelques naturelles, comme on dit.

Tout à coup, des grossesses simultanées sont annoncées ci ou là — ça va confirmer des envies à l'une.

Le nouvel album de Norah Jones est plutôt moyen, m'est avis.

Curieux comme le curry-rice se digère et passe bien.

Allez, vêtons-nous : l'une est de presse.


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