Samedi, au matin.
Premier bla d'après-bouge ! Voyage sans accroc ni heurt — pas même un contrôle en douanes, malgré les 70 kg de bagages (livres et autres, sans surprise).
Retour, continuation et raccord sans trace de couture : lieux, rhythmes et gens — imperturbés pour la plupart. C'est à croire qu'il faut se faire nomade pour ne pas passer son temps à perpétuer le même — façon de dire l'encroûte ? On ne parle pas de business class et d'hôtel. Ni de microcosmes comme ceux des ambassades — d'intéressants eye-openers, à tout prendre. Il faudra un jour raconter Beograd.
Tantôt froid ici, frais là; ors froid là, frais ici.
Le confort indescriptible du chauffage central ! à la suite directe de l'électricité et de l'eau courante. Les gens ne se rendent pas compte (et donc râlent, forcément).
C'est agréable de sentir sa curiosité renaître. Quelques causes aériennes de moindre oppression, à la manière de la théorie des petites perceptions ?
Soirées récentes telles qu'elles devraient être : sans télévision ni ordinateur, que remplace avantageusement le papier découpé (kirie) et peint. On scannera ça quand on pourra.
L'âge et le visage des gens, auxquels il va falloir se r'habituer.
Pouah, une fois encore de vieilles photos, qu'il faut bien caser un jour, faute de ne s'en vouloir défaire.
À temps exact et opportun pour l'offre internet et téléphone portable de Free — tout se fait en quelques minutes par téléphone, et tout arrive en moins d'une semaine par courrier : magique. Reste à activer tout ça, bientôt.
Et une excellente soirée de bière et bla au Cluny avec OsakaChris reparti, quant à lui, pour la Chine. Cheers man, et au plaisir.
Allez ! Partout chez soi !
3 commentaires:
i can't speak french language, but this is good photography, i like the flower picture, nice :D
De retour a Paris, si j'ai bien compris ?
C'est incroyable comme en vivant ici (Tokyo) on (je) en vient a idéaliser la-bas... Tout en sachant que le retour, plus si loin, ne risque pas d’être si facile a vivre.
Niveau pratique, recherche d'appart pas trop difficile ? Ou pas besoin peut-être ?
Salut Djamel, merci pour le commentaire. De retour à Paris, oui. Et non, pas eu besoin de chercher. Le boulot est là aussi. On (j'!) en parlera un de ces jours.
Enregistrer un commentaire