Hors Ura Et bla




Mercredi, au matin.

Bleu hier, blanc ce jour, le ciel.

Passé ce premier mai à dormir. Saine occupation.

Et quoi, en suite ? pourquoi ? et pour quoi ?

Café.




On croit parfois trouver une porte de sortie, qui est une prison.

Assiette où mangez, cuisine où préparez et sol où marchez : même combat ! Dites le contraire : hypocrites ! ignorants ! ou myopes. (Je parle d'intérieur.)

Un fumiste qui pique vos photos sur Flickr, Facebook, Picasa ou autre, les recadre ou modifie un peu (copyright oblige...), les rassemble et les vend. Impunément. Ça me fait bien chier de le faire grimper dans le classement Google en mettant des liens ici. [Edit : Et puis non, pas de pub, je vire les liens. Il ne manquerait plus qu'il me spolie subrepticement. Allez voir si cela vous chante : il s'appelle Joachim Schmid.] Et ces blaireaux de critiques cautionnent. (On sait déjà de ce que je pense de l'œuvre de critique.) C'est vraiment du foutage de gueule, et il y a des coups de batte qui se perdent (la violence est le seul moyen que ces engeances puissent comprendre, perdus qu'ils sont dans les méandres de la sous-pensée et de l'auto-justification).

Ah, les petits mensonges de la femme au foyer qui tait ses petits plaisirs à son porte-feuille travailleur de mari.




Petrucciani ! Petrucci ! Et Chapman Stick.

Le gars d'en-face passe toutes ses soirées tout son temps libre sur un MMOG et un écran géant.

On aimerait s'étendre sur divers sujets, comme un récent accès de misogynie, un poulet à l'abricot, ou l'ordre kosmique. Mais bon, on verra ça un autre jour, hein.

Allez, à la douche.



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