Soleil Nuit From nowhere Et bla




Mercredi, au matin très tôt, ou mardi, au soir très tard : c'est selon.

Soleil ! depuis une paire de jours, un peu plus ? : diablement agréable. Dommage qu'on n'en puisse profiter qu'au cours de cette double marche quotidienne et pressée.

Cette masse de principes qui sont ceux d'une morale percolée, donc vincible à grand prix. Cela concerne sans doute à tout le moins une grande part des sentiments — dans le sens d'interprétation de nos pulsions et réactions. Mais l'admettre ?

Café ? non.




En suite d'un précédent billet : les marées dyschrones de l'affection et du désir.

C'est à présent au tour de ce blog d'être pillé, et ses photos d'être récupérables et modifiables en ligne via des interfaces comme gophoto, qu'on découvre du même coup. Et moi qui commençait justement d'en avoir sacrément assez de perdre mon temps à mettre des filigranes et baisser la qualité des images. Fatiguant.

Bien sûr que j'ai envie de l'appeler la nuit. Surtout la nuit, quand il est si peu de gens de veille, et le silence tout autour. L'insu inimaginable du fatras des vies inaperçues. J'aimerais un polaroid synoptique de tout cela : vue mondaine instantanée. Maintenant.

Mais faire un accordéon de la distance me suffirait.




Chasseur alpin, chasseur lapin. Comme dirait l'autre.

Quel étrange rêve que News from Nowhere. Morris en ferait une tête, s'il nous voyait, pas aussi loin encor de son idéal qu'on puisse à présent s'imaginer l'être : ce sera pire encore bien assez tôt — engrenage, taquet et boule de neige, voyez-vous, entre Rousseau et Tocqueville — et il vaut mieux n'y penser pas.

And the mind furiously bent on one single purpose.

Allez.



1 commentaire:

Christian Lefebvre a dit…

Pas mal ce chapeau blanc.
Je viens de regarder, sur youTube, le documentaire sur Daido Moriyama. Il est très bien cet homme.