Prestivales LotGH Sources Et bla




Mardi, au matin.

Passage de l'hiver à l'été en l'espace d'une semaine. Même sans transition, mieux vaut chaleur que froid ! Bien sûr, cela ne dure pas, et la grisaille et la fraîcheur sont de retour.

On continue de fabriquer les exemplaires (20 de chaque) des deux créations récentes de livres d'artiste à systèmes (Steps 2 et Baby Steps). Pour les prochains, quelque chose de plus simple à réaliser ; cela prend vraiment trop de temps, qu'on préférerait passer à de nouveaux projets.

Il est facile d'éduquer les masses à une action précise: il suffit de rabâcher une même chose en boucle et de compléter cela par de nombreux reportages sur les conséquences néfastes du fait de ne pas suivre la ligne proposée (récemment : le bio). La limite de cette éducation se situe là où le moindre confort personnel commence (e.g. : les incivilités, les automobiles).

Fond de café.






Le premier épisode du remake (Die Neue These) de cet extraordinaire série Ginga Eiyuu Densetsu, est une véritable catastrophe : dessin lissé, au pseudo-goût du jour, sans aucune originalité ; on peut dire la même chose des voix ; de l'animation (les vaisseaux à la main c'était pourtant tellement mieux) ; et du storyboardiste, qui nous sort des plans d'un cadrage des plus douteux. Enfin bon, c'est un peu le lot de presque tout ce qui sort ces derniers temps. C'est cheap et fade, facelift for the supposed young. On n'a que ce qu'on mérite, je suppose. On va poursuivre le visionnage tout de même, pour savoir comment ils ont compressé et mené le tout.

L'inconvénient, pour sa sanction, de la violence psychologique, est qu'elle ne laisse pas de trace constatable par les services de police. De ce fait, les femmes, qui en sont les spécialistes (c'est leur arme par prédétermination et de choix), ont la certitude de leur impunité.

Coquetterie ? Bodybuilding ? fatuité, fatuité.




Mesquin dans les petites choses et petit dans les grandes.

Publicité pour une banque, opposant un vieux livre et une tablette : "En 200 ans tout a changé sauf nos valeurs". En 200 ans rien n'a changé – vanité, cupidité – et s'est plutôt renforcé avec l'industrialisation, le capitalisme et le libéralisme. Et rien ne changera tant que la révolution ne sera pas humaine.

Toute étude du langage part de la philologie. Toute étude de l'homme part de la biologie. Sans ces fondements, c'est l'erreur assurée.

On est tous des clichés ; peu importent les originalités qu'on s'attribue.

Allez !





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